Janvier
fevrier

Les corps lumineux s'étendent sans mesure... comme dans nos pensées, haut et bas, n'ont aucun sens.

La nature, par essence, interdit les mesures... Dans la hauteur des profondeurs, le miracle l'emporte...

 

Les corps sont invisibles,

les formes minimums...

On ne regarde pas vers le ciel.

Dans un monde bio luminescent, rien, rien, rien ne s'illumine en vain... la moindre lumière peut décider de la vie ou de la mort.

Dans la hauteur des profondeurs, le vertige à un sens.

Et si c'était ça Dieu !...

Le vide, ce vide... juste, parfait et infini...

ce vide là tout autour de nous sans lequel rien ne serait possible...

Ni la respiration du nageur, ni même le son du boozooki.

 

 

Je vous laisse maintenant... dans la hauteur des profondeurs... juste à la verticale de l'horizon...

 

Près de la bouche des anges...

Retrouvons nous après demain...

 

à la surface...

Retrouvons nous après demain...

 

à la surface...

Retrouvons nous après demain...

 

à la surface...

 

Decembre
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Dimanche 28 Mars

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Dans la hauteur des profondeurs, le vide devient conscience...