La nature est plaintive, le calme dans les cimes,...la rythmique d'un sommeil, ignorant tant de joies, exempt de tant de peines.
Il y a dans l'air de ce premier jour d'hiver, quelque chose de vain... Je fais face de sang froid ! ... Ai je vraiment le choix ? ...Là bas, de l'autre côté d'ici, dans l'autre hémisphère, à l'opposé d'ici, au contraire, c'est l'été... en suivant les effets absurdes, de ma propre mémoire,...un soleil me brûle.Sous l'océan, se dissimule, se consume, une longue et belle histoire. Cesserons nous un jour de projeter vers les cieux... ?
Il y a dans l'air de ce premier jour d'été, quelque chose de vain... l'océan est plaintif...le calme est dans l'abysse...la rythmique des vagues ignorant peu de joie, exemptant tant de peines...englouti dans les effets absurdes de ma pauvre mémoire, je décrypte un message à travers les bulles d'un vieux scaphandrier, assis sur un trésor, loin, loin, bien loin de la surface.
" Cessera tu un
jour de fixer les étoiles ? "... La réponse est non !...mais,
ai je vraiment le choix ?... Le A et le O, main dans la main, traversent
les miroirs....
" Tu devrais arrêter de fixer les étoiles...!"
Je devrais arrêter de fixer les étoiles surtout quand le ciel apparaît détoilé...