L'enchaînement perpétuel des hasards de la conscience, me fait penser à... une mécanique mettant en jeu tous les attributs de nos illuminations intérieures... comme qui dirait, antérieures, postérieures, à la chute des heures... comme qui dirait.
Foto mato"la pop music c'est érotique"
Ukraine
Les siècles s'accumulent sur la nébuleuse des jours, et l'air se prolonge à chaque mouvement d'aile.
A la faveur de ta lumière, rien ne nuit à la pureté de nos ombres couchées sur la substance du temps.
Aime moi encore... serre moi plus fort... avant que je ne m'effondre.
Je pense à une mécanique qui mettrait en jeu, et non en cause, nos jubilations, et ferait des étincelles qui, auraient pour fonction profonde, de rappeler sans cesse à l'esprit, sa structure naïve, loin... loin.... loin..... de l'avant garde électronique, prophétique... chimique... pathétique... hic.
A la pointe de l'âme, la lumière irradie, l'air prolonge les limites mouvantes du ciel... à chaque pulsation... à chaque mouvement d'aile.
Au plus profond de moi-même, dans ce rose éternel, une danse subtile, libre et lumineuse, immobilise la mouvante limite des cieux, et sépare l'infini.
A la pointe de l'âme, l'instant est admirable, remarquable et sa beauté futile comme un cri sacré, prisonnier de l'éternité.