Un beau matin, petit Pierre ouvrit la porte du jardin et s'en alla dans les grands près verts.............. sur la plus haute branche d'un grand arbre, était perché un petit oiseau ami de Pierre... toutestcalmeicigazouillaitilgaiement... fiuiiufuiiififuufuiiiiffffiifiifuufi...
Galipettes musicales sur un bonheur de brume, fragile à vous glacer le coeur.
Venus, toujours elle, queue de cheval et oeil gourmand, aiguise ses vocalises jusqu'en perdre le fil, s'étire et se manifeste en ondoyant sur les cordes d'un violon, dans un paysage, ivre de lumière.
Glacée comme une actrice; fragile comme les vers écrits sur un tableau d'ardoise, une main tâtonne, trace, note scribouille puis finalement écrit :
" Certaines écritures traversent les paysages, séduisent, touchent, effleurent, nous apprennent à douter... du vide entre les phrases. "
Le regard de travers à travers l'objectif, révèle, exprime, effleure le dévoilement de nous même sans jamais y parvenir... comme certains instruments dans les sonates de Prokofiev.
J'étire mon écriture...
Certaines écritures ouvrent sur des paysages qui fraternisent avec la lumière.
Un beau matin, petit Pierre ouvrit la porte du jardin et s'en alla dans les grands près verts.............. sur la plus haute branche d'un grand arbre, était perché un petit oiseau ami de Pierre... toutestcalmeicigazouillaitilgaiement... fiuiiufuiiififuufuiiiiffffiifiifuufi...