Ma mémoire s'est alongée sous l'arbre des coïncidences...
en elle, des images se meuvent...
Entre elles, des phénomènes, une flèche, un homme, une femme, et un raisonnement;
La vie, cette lumineuse ondulation, reste, et restera un mystère comme ces petites chansons d'amour que chante le moteur de ma CB 500 four.
Ma mémoire se prolonge entre les 2 pôles de l'aimant, entre toi et ce rêve, rapide à peine disparu. Les choses, de distinguent par déduction mystique et la flèche vole...
étincelante comme l'émoi.
Oui, la mémoire abuse de nous même... et le rêve nous dispense de tout étonnement.
Émoi d'une étreinte ardente comme la flamme qui émane, émerge, inonde puis engloutie, les caves, les rues, les sommets de Babylone et,
mon jardin aussi.
Jusqu'à preuve du contraire, Les choses se distinguent par déductions mystiques...
Isn't it...?
la mémoire abuse de nous même, seul le rêve et l'entretient des vieilles motocyclettes, nous dispensent de tout étonnement.