Je ferme les yeux, et au fil du temps, je me souviens.
Je me souviens des choses ordinaires...je me souviens de ceux qui m'ont appris à pigmenter ma vie... à ressentir jusqu'à pouvoir toucher, l'exaltation profonde des pulsions sous jacentes qui m'absorbent.
La fureur de l'amour, le souffle du danseur.