Une histoire qui hésite, romantique au possible.
2 bulles fugitives, itinérrantes, errantes... en villégiature... en villégiature.. au purgatoire. Une liaison heureuse qui stigmatise.
L'amitié a un sens car les hommes ont besoin d'amour et d'attention.
Tendresse, sympathie, sincèrité et bienveillance, comportements humains équitables qui s'accomplissent loin très loin de la lâcheté et du mensonge.
Lost in translation...
Un film qui commence comme ça, ne peut être un mauvais film, surtout, surtout quand la réalisatrice a du coeur et s'appelle Sofia.
Un film qui se savoure comme un fruit cueillit sur l'arbre.
Un film qui vous cajole, comme le balancement d'une balançoire.
Un film que j'aurais aimé monter.
Si j'avais des lunettes, et si j'étais journaliste ou critique de cinéma, parmis les questions que je poserai à Sofia, il y aurait
celle ci :
" - pourquoi n'y a t'il pas, dans la bande originale,
" The Gun-Club "
et
" The Clash "...?"
Et celle là :
"-Comment intepréter cette vision ravissante et coquine ???..."
Thank you Sofia.