Au sortir de cet absolu refuge d'amour, j'ambitionne une promenade en carrosse sur les pavés luisants.Un petit tour d'horizon sans commentaire.

Je t'esquisse, je te déconsidère, sans effort je me souviens de temps en temps, je t'imagine encore, héroïne d'un roman carcéral, pesant sur mon isolement instant après instant, instant après instant.

Je perçois une nuée de flashs, des bouts, des petits bouts d'images dispersées, qui se confondent dans un style hétéroclite et d'allure bigarrée.

Aux confins de mes visions narcoleptiques, submergé par l'impalpable sentiment de la douceur du présent, je t'esquisse, je te déconsidère... désormais, désormais c'est certain, dans l'espace euclidien, les rêves sont impuissants mais ils sont pleins de sens.

 

 

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837 838 839 840 . 10 mars.841