Evidemment il y a le sens virtuel du paysage...

 

 

La ville...étendue dans un brouillard orange,dissimule un secret aux contours nets, sans rapport avec le réel;

tel ce Dieu inventé coupable au milieu de nulle part et presque superflu au regard des Abîmes.

Je suis conscient que le temps s'accélère, je rêvasse parmis les ombres roses des lampions fushia, mes pensées sont pénétrables et exposées au vent.

Nous pourrions faire des tas de choses stupides... plus vraies que tout le reste... toujours selon le même principe des trajectoires brisées.

A l'heure du choix... il y a toujours quelque chose d'un peu risqué, on se demande............---....--....---...---- on interroge...... on s'interroge sur l'image inquiétante renvoyé par le miroir déformant posé en équilibre sur l'intériorité de nos rêves tourmentés autour desquels s'élabore lentement dans le monde alentour, le projet capital d'une vie d'Amour.

 

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