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Confessions d'un mangeur d'Opium à Guatemala City : Je ne calcule plus rien...plus rien ne tiens debout... à part cette distance. Je souffre moins qu'avant, et la nuit m'accomplit inexorablement. Je garde en moi la colère intérieur du volcan pour appaiser les craintes du retour à l'argile; De quoi sommes nous encore capables ?... sommes nous encore synchrones ?... Je ne calcule plus rien...plus rien ne tiens debout... à part cette distance. Je souffre moins qu'avant, et la nuit m'accomplit inexorablement. Cette fumée... séductrice insolente, danse une danse effroyablement ridicule. Je suis son guide opiniâtre, son motif rythmique, admirateur transit d'une salutaire harmonie. L'illumination se dissipe aux extrême de la rage et la rage se dissipe aux extrême de l'Extase. Je ne calcule plus rien...plus rien ne tiens debout... à part cette distance. Je souffre moins qu'avant, et la nuit m'accomplit inexorablement. Je me sens résigné à ne rien pouvoir changer, mais je reste fidèle à ce dernier echo enfoui sous les cris des guitares. "Please dont say you'll never find a way and tell me all my Love is in vain." Je ne calcule plus rien...plus rien ne tiens debout... à part cette distance. Je souffre moins qu'avant, et la nuit m'accomplit inexorablement. |
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Janvier . Février . Mars . Avril. Mai.Juin . juillet . Aout. Septembre .Octobre .Novembre.Decembre
Janvier .... fevrier.....mars ... Avril ...Mai ... JUIN Juillet ... Août... Septembre ... Octobre ...Novembre...Decembre
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